Jack Nugent, écrivain et passionné de cinéma de la série » Now You See It « , explore l’histoire, la signification et la signification des rayures dans les films classiques et modernes.
« Après avoir lu « L’étoffe du diable : Une Histoires des rayures et des tissus rayés » de Michel Pastoureau, j’ai vu l’occasion d’exposer ses idées et de les appliquer au cinéma. Une fois que vous êtes à l’affût des rayures, vous pouvez voir à quel point leur signification historique s’harmonise avec celle des personnages à rayures dans les films. »
00:00 Intro 00:26 Jean Claude & The Eclairs – Crazy For You 03:33 Drenge – Autonomy 06:57 999 – The Biggest Prize In Sport 09:57 Beach Goons – The End 11:34 The Garrys – Healing Waters 15:36 Mellah – What It Is 18:49 Twenty One Pilots – Smithereens 21:36 Van Morrison – The Way Young Lovers Do 24:48 Tidal Rave – Fomo 29:26 Say Sue Me – B Lover 32:15 Estrons – Lilac 34:52 IDLES – Samaritans 38:20 Pixies – Subbacultcha (live WJUL, Lowell, MA, 1986) 41:19 Charles Aznavour – Jezebel 43:51 Daffodils – A Leo Underwater 47:42 new vogue – Space Junk 52:13 Jeff Buckley – Mama, You’ve Been On My Mind (live WFMU, Upsala College, NJ 1992) 55:32 Tamino – Cigar 59:31 Final
La commande d’une librairie commerciale était de créer à la fois un espace qui présente le travail d’édition des Presses du Réel et dans le souvenir de l’émission littéraire Apostrophes une plateforme d’échanges et de discussions.
Le projet repose sur une analogie et rend hommage au film Fahrenheit 451 de François Truffaut d’après le roman de science-fiction de Ray Bradbury : une dystopie où les livres sont interdits et où les pompiers brûlent les livres.
La librairie s’appuie sur un des éléments du film, le monorail. Cette ellipse permet de ne rien accrocher aux murs et de suspendre les livres dans des caissons dans un espace circulaire.
Le monorail Safege présent dans le film de François Truffaut est un héritage d’un passé industriel glorieux et d’un certain design qui vibrait pour la technologie.
Six caissons jaunes sont suspendus à un monorail orange qui traverse six espaces de présentation de couleur blanche.
Chaque caisson accessible des deux côtés est dédié à une section ou collection des Presses du réel : écrits d’artistes, monographies, textes historiques des utopies comme ceux de Charles Fourier…
Au centre un bureau permet de présenter des livres et aussi d’accueillir des chaises pour créer un espace de rencontre avec une vingtaine de personnes. C’est à la fois un espace ouvert et fermé, pour se concentrer et aller à la rencontre.